The sun is up i'm so happy i could scream

[ You are lost and I'm at home, and nobody wants to be here alone
Ooo baby's in mint condition, man I'm doin' some dirty wishin'
Let's both get on that rocket to the stars ]

Les week end ont quelque chose de vicieux dans le sens où on a l'impression d'être face au miroir de notre vie sociale et de l'état actuel de notre vie. En résumé, le mien se compose du sauvetage in extremis de Bob l'éponge qui s'était envolé un peu trop haut, de mon rendez-vous mensuel avec les vieux hippies d'un magasin de disques d'occasion et d'une overdose d'audio-visuel.
Et puis ce soir, pour ponctuer la fin de semaine riche de l'ado fashion et occupée que je suis, un joli mail de la jolie Maëlys qui s'est mis en tête de pourrir quelqu'un cette semaine. Façon choisie : la culpabilisation.
Tout un programme qu'elle a su remplir avec justesse, les armes utilisée : je ne suis qu'une sale menteuse insensible, puérile et Ô bassesse suprême, je ne suis plus là pour assumer mes méfaits. Je parle de ça pour illustrer la pensée que j'ai en ce moment, malgré la relative indifférence que ses attaques génèrent en moi, c'est gênant de se rendre compte que les gens qu'on rencontre, les gens en général du reste, ont toujours une facilité déconcertante à faire et à défaire l'affection qu'ils nous portent.
Ca a l'air réellement facile.